calendar 13/03/2015

Activités de la CCILCI

La CCILCI porte les préoccupations de ses adhérents à Webb Fontaine

La CCILCI porte les préoccupations de ses adhérents à Webb Fontaine
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Une délégation de la Chambre de commerce et d’industrie libanaise de Côte d’Ivoire (CCILCI) a été reçue le jeudi 12 mars 2015 par M. Guy Waterschoot, directeur des opérations de Webb Fontaine. A la tête de la délégation M. Abadallah Sifaoui, vice-président de la CCILCI était accompagné d’une dizaine d’adhérents. Il s’agissait pour l’organisation de porter à Webb fontaine, les difficultés rencontrés par ses adhérents lors des opérations de dédouanements ; Notamment le redressement systématique de la valeur en douane, et le délai de traitement des produits périssables. S’il reconnait quelques dysfonctionnements « comme dans toutes les administrations du monde », M. Waterschot a affirmé que sa structure fait tout pour permettre aux importateurs de gagner du temps. Selon lui les redressements ne se font pas systématiquement mais après une étude minutieuse menée par des analystes basés à Manille (Philippines). Concernant les denrées périssables, il s’est dit surpris de la plainte des opérateurs économiques « selon nos statistiques, le délai moyen de traitement des dossiers est de 2 jours. » a-t-il indiqué. Mais il a promis toutefois d'étudier la question. A l’issue de la rencontre, le directeur des opérations s’est dit disposé à rencontrer tous les opérateurs économiques qui ont un problème particulier.

Une délégation de la Chambre de commerce et d’industrie libanaise de Côte d’Ivoire (CCILCI) a été reçue le jeudi 12 mars 2015 par M. Guy Waterschoot, directeur des opérations de Webb Fontaine. A la tête de la délégation M. Abadallah Sifaoui, vice-président de la CCILCI était accompagné d’une dizaine d’adhérents. Il s’agissait pour l’organisation de porter à Webb fontaine, les difficultés rencontrés par ses adhérents lors des opérations de dédouanements ; Notamment le redressement systématique de la valeur en douane, et le délai de traitement des produits périssables. S’il reconnait quelques dysfonctionnements « comme dans toutes les administrations du monde », M. Waterschot a affirmé que sa structure fait tout pour permettre aux importateurs de gagner du temps. Selon lui les redressements ne se font pas systématiquement mais après une étude minutieuse menée par des analystes basés à Manille (Philippines). Concernant les denrées périssables, il s’est dit surpris de la plainte des opérateurs économiques « selon nos statistiques, le délai moyen de traitement des dossiers est de 2 jours. » a-t-il indiqué. Mais il a promis toutefois d'étudier la question. A l’issue de la rencontre, le directeur des opérations s’est dit disposé à rencontrer tous les opérateurs économiques qui ont un problème particulier.