calendar 01/02/2016

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Apple prévoit pour la première fois de son histoire une baisse des ventes d'iPhone

Apple prévoit pour la première fois de son histoire une baisse des ventes d'iPhone
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Le géant Apple a confirmé le mardi 26 janvier dernier que les ventes de l'iPhone, qui tirent sa croissance depuis des années, devraient diminuer ce trimestre. C’est une première dans l’histoire du groupe.

Le géant Apple a confirmé le mardi 26 janvier dernier que les ventes de l'iPhone, qui tirent sa croissance depuis des années, devraient diminuer ce trimestre. C’est une première dans l’histoire du groupe.

Durant le premier trimestre de son exercice décalé, Apple a certes battu un niveau record  en écoulant 74,8 millions d'iPhone dans le monde. Mais c'est à peine mieux que les 74,5 millions enregistrés un an plus tôt, et la plus faible progression depuis la sortie en 2007 de la première version du célèbre smartphone

Même si la marque à la pomme a d'autres produits emblématiques comme l'ordinateur Mac, la tablette iPad ou la plus récente montre connectée Apple Watch, l'iPhone reste de loin sa première source de revenus : il représentait encore plus des deux tiers du chiffre d'affaires sur le trimestre clos fin décembre.

Outre les ventes de l'iPhone, le chiffre d'affaires d'Apple devrait aussi reculer ce trimestre. Le groupe table sur 50 à 53 milliards de dollars (plus de 30.000 milliards à environ 32.000 milliards de FCFA). Cette prévision plus pessimiste que celle de la moyenne des analystes représenterait un net recul comparé aux 58 milliards de dollars (plus de 34.000 milliards de FCFA) comptabilisés un an plus tôt.

Le ralentissement de l'économie chinoise est comme celui des ventes de l'iPhone, l'un des grands motifs actuels d'inquiétude des investisseurs vis-à-vis d'Apple, étant donné la part que l'une comme l'autre représentent dans les résultats du groupe.

D’autres marchés sont également en perte de vitesse. Des marchés majeurs incluant le Brésil, la Russie, le Japon, le Canada, l'Asie du sud-est, l'Australie, la Turquie et la zone euro sont affectés par un ralentissement de la croissance économique, une baisse des prix des matières premières, et un affaiblissement des devises face au dollar.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

M.C.N

Source : yahoo.fr