calendar 11/06/2014

Environnement des affaires en CI

Anacarde : un salon pour encourager l’industrialisation

Anacarde : un salon pour encourager l’industrialisation
Partagez
Anacarde : un salon pour encourager l’industrialisation La Côte d’Ivoire transforme seulement 5% des 500000 tonnes de noix de cajou qu’elle produit chaque année. Pour augmenter le taux de transformation, le Conseil du coton et de l’anacarde organisera les 26 et 28 novembre prochain un salon dénommé Salon international des équipements des technologies de transformation de l’anacarde Sietta 2014. Il s’agit pour les organisateurs de vulgariser les équipements et les technologies de la transformation de l’anacarde auprès des investisseurs d'une part et faire la promotion de la consommation locale d'autre part. Selon le président du conseil d’administration du Conseil de l’anacarde et du coton, Bamba Mamadou, le niveau de production de l’anacarde en Côte d’ivoire a permis de faire du pays le deuxième producteur mondial après l’Inde et le premier exportateur mondial. Mais cette performance, soutient-il, est diluée par le faible niveau de transformation qui ne permet pas à notre pays de profiter de la plus-value liée à la valorisation du produit. Maxime Bebo
La Côte d’Ivoire transforme seulement 5% des 500000 tonnes de noix de cajou qu’elle produit chaque année. Pour augmenter le taux de transformation, le Conseil du coton et de l’anacarde organisera les 26 et 28 novembre prochain un salon dénommé Salon international des équipements des technologies de transformation de l’anacarde Sietta 2014. Il s’agit pour les organisateurs de vulgariser les équipements et les technologies de la transformation de l’anacarde auprès des investisseurs d'une part et faire la promotion de la consommation locale d'autre part.

Selon le président du conseil d’administration du Conseil de l’anacarde et du coton, Bamba Mamadou, le niveau de production de l’anacarde en Côte d’ivoire a permis de faire du pays le deuxième producteur mondial après l’Inde et le premier exportateur mondial. Mais cette performance, soutient-il, est diluée par le faible niveau de transformation qui ne permet pas à notre pays de profiter de la plus-value liée à la valorisation du produit.
Maxime Bebo